Il n’est plus à prouver que fumer est mauvais pour la santé. En effet, les campagnes publicitaires elles-mêmes mettent en garde les consommateurs contre un tabagisme renforcé.
Fumer compromet le système vasculaire en agissant sur la pression artérielle, laquelle joue un rôle important dans la contraction de la maladie d’Alzheimer.
Il va de soi que pour qu’un fumeur s’expose à cette maladie dégénérative, sa consommation de cigarettes doit être élevée et étalée sur un long terme.
Nous ne parlons pas des adolescents qui prennent une bouffée de la cigarette du copain une fois par mois. Mais autant ne pas prendre ce genre de mauvaises habitudes, car le corps peut avoir un effet de contrôle et de maîtrise sur l’esprit, plus important que ce que nous pensons.
On ne devient pas accroc à la cigarette du jour au lendemain. On commence par en prendre une quand on est avec les copains, puis on se retrouve de plus en plus fréquemment au distributeur pour enfin arriver à une véritable dépendance de laquelle on ne peut absolument pas se défaire.
La cigarette nuit à la santé, elle encrasse les poumons, occasionne une gêne respiratoire de plus ne plus importante. De nombreuses actions sont lancées afin de faire prendre conscience aux fumeurs de l’impact de leurs gestes pour eux-mêmes et pour leur entourage également.
Une étude de Kaiser Permanente aurait démontré que les gros fumeurs seraient davantage exposés à développer des maladies de démence vasculaire (le risque s’accroît de 172%) et la maladie d’Alzheimer (le risque s’accroît de 157%).
Cette étude a été publiée dans les Archives of Internal Medecine dans le but de prouver une fois supplémentaire, l’existence d’une forte corrélation entre un tabagisme lourd et un cerveau atteint de différents maux, comme la maladie d’Alzheimer.